21 Sep 2013

Tout le conflit porte sur le mot de renversement

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Tout le conflit porte sur le mot de renversement

Par conséquent tout le conflit porte sur le mot de renversement : renverser le régime ou accepter le compromis avec ses factions ?
L’enjeu est le choix de la capitulation devant ce régime ou la résistance, en tout lieu et en tout temps.
L’enjeu est la trahison ou la fidélité à la cause de la liberté.

Et si vous demandez aux mollahs, aux pasdarans, à leurs partisans et à leurs complices quel est le crime de la Résistance, ils vous répondront : son crime c’est que dès le premier jour elle a dit « non » à la dictature religieuse. Et un crime plus grand encore, c’est qu’elle n’a pas cessé un seul instant de résister et de lutter contre cette tyrannie.

Oui, ce qui dans le jugement des obscurantistes est un crime et une faute, équivaut pour le peuple iranien au sens des responsabilités, à une cause, à l’honneur et à la fidélité au serment donné.

Aussi, comme je l’ai dit à plusieurs reprises : Si résister pour la liberté et refuser de capituler est un crime, nous sommes fiers de ce crime. Si résister pour les droits du peuple iranien et pour les droits internationalement reconnus est un crime, alors nous en sommes fiers. Si tomber martyrs, être massacrés et recevoir un coup de grâce dans la voie de la liberté, et ce les mains liées, est un crime, alors nous y sommes prêts et nous en sommes fiers. Et nous sommes fiers du camp d’Achraf et de tous ses martyrs.

Oui, nous sommes fiers de l’armée de libération du peuple iranien, de la multiplication d’Achraf et de tout pas que fait chaque Iranien épris de liberté pour le renversement du régime. Nous le saluons et nous en sommes fiers.

Maryam Radjavi

Maryam Rajavi

Présidente-élue du Conseil
national de la Résistance
Iranienne

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