Les députés britanniques David Jones et Bob Blackman visitent Achraf 3 et rencontrent Mme Maryam Radjavi
Le jeudi 23 février 2023, le député David Jones, ancien ministre du Pays de Galles et du Brexit, et président du Comité britannique pour la liberté en Iran, et le député Bob Blackman, ont visité Achraf 3 en Albanie, et se sont entretenus avec Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) pour le transfert de la souveraineté au peuple iranien.
MM. Jones et Blackman ont également pris la parole devant des milliers de hauts responsables et de membres de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK).
Au cours de cette visite, MM. Jones et M. Blackman ont remis à Mme Radjavi une déclaration signée par 250 membres des deux chambres du Parlement britannique, tous partis confondus, soutenant le soulèvement national du peuple iranien, la Résistance iranienne et le plan en dix points de Mme Radjavi pour l’avenir de l’Iran. En présentant les signatures dans deux registres séparés, ils ont déclaré : “Il est temps de reconnaître le droit du peuple iranien à se défendre, à renverser ce régime et à instaurer une république démocratique et laïque.”
250 membres des deux chambres du Parlement britannique ont reconnu le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) comme l’alternative démocratique au régime clérical et méritant un soutien total.
La déclaration indique : “Le Conseil de sécurité des Nations unies doit demander des comptes aux responsables des crimes commis contre le peuple iranien, en particulier le guide suprême du régime, Khamenei, et le président actuel, Ebrahim Raïssi, et les traduire en justice.”
Cette déclaration souligne également : “En prenant des risques énormes, les unités de résistance et la résistance organisée par l’OMPI/MEK jouent un rôle sérieux dans l’organisation et la poursuite de ces manifestations et la résistance à la répression.”
M. Jones et M. Blackman ont rappelé que le peuple iranien a été sévèrement réprimé sous les régimes du chah et des mollahs, et que pour cette raison, il rejette clairement toute forme de dictature. Le slogan “à bas l’oppresseur, qu’il soit chah ou mollah” lancé par les manifestants dans toutes les villes iraniennes en est l’écho. Pour le peuple iranien, les noms de chah et d’ayatollah sont synonymes d’oppression et de totalitarisme.
Ils ont souligné : “Il est absurde de penser que le peuple iranien, qui aspire par-dessus tout à la liberté, reviendrait à un passé où il a été opprimé et privé de ses libertés fondamentales.”
Les 250 signataires de cette déclaration ont lancé un appel aux Nations unies, à ses États membres et à d’autres instances internationales :
1) La perspective de changement en Iran n’a jamais été aussi accessible. Il est temps de reconnaître le droit du peuple iranien à se défendre et à renverser ce régime.
2) Condamner fermement le meurtre de manifestants en Iran et prendre des mesures urgentes pour mettre fin à cette répression. Le Conseil de sécurité des Nations Unies doit être saisi du dossier des crimes de ce régime et les responsables de ces crimes doivent être traduits en justice, en particulier le Guide suprême du régime, Khamenei, et le président actuel, Ebrahim Raïssi.
3) Garantir le libre accès à l’Internet pour le peuple iranien.
4) Le peuple iranien dispose d’une alternative démocratique dont les objectifs sont inscrits dans le plan en dix points formulé par Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI). Cette alternative mérite un soutien inconditionnel.
5) Tout dialogue, toute négociation ou toute poursuite des relations avec le régime iranien doit être subordonné à la libération de toutes les personnes arrêtées lors du récent soulèvement.
Rt Hon David Jones, député, président du Comité britannique pour la liberté en Iran
Bob Blackman, député, coprésident du Comité international des parlementaires pour un Iran démocratique (ICPDI) et membre éminent du Comité britannique pour la liberté en Iran.
23 février 2023
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